
48º52´15.13´N/2º19´01.80´E/33º08´22
Ra's djir, 2012. Ra's djir, 2012. Trazado de la planta del palacio del Elíseo Francés sobre el antiguo campo de primera urgencia de Choucha en Ra’s djir, en la frontera entre Túnez y Libia. Este campo fue construido como anexo del campo de refugiados para atender a los heridos durante la guerra de Libia. Desde el dibujo se pretendió “exorcizar” las huellas de un poder invisible, pero existente, superponiéndolas irónicamente a la historia del lugar. Con esta intervención -efímera- se buscó, para ello, confrontar la memoria del lugar con una nueva representación del poder colonial. Por lo tanto la propuesta nos cuestiona en torno a las nociones de trazas, poder colonial, memoria, fronteras , inmigración y desplazamiento de población; conceptos que fueron materializados por las líneas y trayectorias de cal en el suelo. La documentación resultante (fotografías, vídeo, mapas y cuaderno de viaje) nos sirve de registro sobre la naturaleza de la acción, sobre una realidad política. Así mismo este despliegue cristaliza una re-interpretación de una memoria -estetizada por el artista-.
Project in Ra'sdjir border with Libya Tunisia 2012.
Dessin du plan à échelle 1 (100m x 123m) du palais de l'Élysée Français sur l'ancien camp de réfugier de Choucha, à la frontière de Ra's djir, 2012 (Libye et la Tunisie).
Ce camp a été crée pour recevoir les nouveaux réfugiés venus de Libye à la suite des bombardements de la coalition française.
Le traçage marque d'une forme symbolique l'implication militaire française, et comme résultant, les conséquences néfastes pour les populations locales Libyennes et Tunisiennes.
D'autre part, la configuration du projet nous incite à penser sur la valeur conceptuelle du dessin comme un argument politique. La ligne blanche comme frontière symbolique, économique et politique. Suite aux marquages et aux traçages nous redéfinissons le périmètre du non-lieu.
Ce camp a été crée pour recevoir les nouveaux réfugiés venus de Libye à la suite des bombardements de la coalition française.
Le traçage marque d'une forme symbolique l'implication militaire française, et comme résultant, les conséquences néfastes pour les populations locales Libyennes et Tunisiennes.
D'autre part, la configuration du projet nous incite à penser sur la valeur conceptuelle du dessin comme un argument politique. La ligne blanche comme frontière symbolique, économique et politique. Suite aux marquages et aux traçages nous redéfinissons le périmètre du non-lieu.








